Plus j'observe la mutation de la santé vers l'univers numérique et plus ...
Depuis début 2017 avec MedShakeEHR et mon arrivée un peu involontaire dans l'univers du logiciel de gestion médical, j'observe l'entrée de la santé à marche forcée dans le monde numérique.
C'est effrayant.
Les derniers billets de ce blog en témoignent.
Il ne s'agit pas de faire de procès d'intention, il s'agit de constater. Toutes les solutions choisies (DMP, HDS, messagerie santé ...) sont des solutions centralisatrices, concentratrices, aux mains de l'état.
Toutes ces solutions sont du fichage géant auquel il est impossible d’échapper. Les procédures qui touchent à l'éthique ne sont là que pour la forme, pour rassurer la foule, pour faire un saupoudrage de bonne conscience.
Si j'écris ce billet aujourd'hui, c'est parce que j'ai parcouru hier les documents sur l'INS. L'identifiant national de santé. Une clef de plus, rendue légalement ultra obligatoire pour 2021. Si obligatoire qu'on a cru bon de préciser dans les documents qui en traitent qu'il fallait quand même soigner les gens en état d'urgence si on n'avait pas pu vérifier avant ce numéro. Dans le reste des cas ...
Autrefois, ado et jeune adulte, je me souviens que les fichiers informatisés de police sur les délinquants faisaient polémiques à la une des actualités.
Et aujourd'hui ?
Aujourd'hui il n'y a plus un domaine qui n'échappe au fichage. Et en termes de santé, il ne s'agit pas seulement de surveillance de masse et de dictature, il s'agit aussi d'outils d'eugénisme dont certains auraient rêvé au siècle dernier.
La conclusion de tout cela est qu'il n'y a qu'une chose à dire / à faire : accuser tous les dirigeants actuels, tous ceux qui œuvrent à la mise en application de ces projets, d'irresponsabilité totale. Aucun argument, qu'il soit économique ou scientifique, ne peut justifier l'existence et la dangerosité de tels outils dont on ne sait pas dans quelles mains ils tomberont demain.
Ce monde-là, auquel nous ne pourrons bientôt plus échapper, quelle que soit la facette par laquelle on le prend, est-il vraiment celui que nous voulons ?
Comme le dit un slogan que vous avez sûrement déjà croisé en ligne : "1984 n'était pas censé être un manuel d'instruction".
Et pourtant ...
C'est effrayant.
Les derniers billets de ce blog en témoignent.
Il ne s'agit pas de faire de procès d'intention, il s'agit de constater. Toutes les solutions choisies (DMP, HDS, messagerie santé ...) sont des solutions centralisatrices, concentratrices, aux mains de l'état.
Toutes ces solutions sont du fichage géant auquel il est impossible d’échapper. Les procédures qui touchent à l'éthique ne sont là que pour la forme, pour rassurer la foule, pour faire un saupoudrage de bonne conscience.
Si j'écris ce billet aujourd'hui, c'est parce que j'ai parcouru hier les documents sur l'INS. L'identifiant national de santé. Une clef de plus, rendue légalement ultra obligatoire pour 2021. Si obligatoire qu'on a cru bon de préciser dans les documents qui en traitent qu'il fallait quand même soigner les gens en état d'urgence si on n'avait pas pu vérifier avant ce numéro. Dans le reste des cas ...
Autrefois, ado et jeune adulte, je me souviens que les fichiers informatisés de police sur les délinquants faisaient polémiques à la une des actualités.
Et aujourd'hui ?
Aujourd'hui il n'y a plus un domaine qui n'échappe au fichage. Et en termes de santé, il ne s'agit pas seulement de surveillance de masse et de dictature, il s'agit aussi d'outils d'eugénisme dont certains auraient rêvé au siècle dernier.
La conclusion de tout cela est qu'il n'y a qu'une chose à dire / à faire : accuser tous les dirigeants actuels, tous ceux qui œuvrent à la mise en application de ces projets, d'irresponsabilité totale. Aucun argument, qu'il soit économique ou scientifique, ne peut justifier l'existence et la dangerosité de tels outils dont on ne sait pas dans quelles mains ils tomberont demain.
Ce monde-là, auquel nous ne pourrons bientôt plus échapper, quelle que soit la facette par laquelle on le prend, est-il vraiment celui que nous voulons ?
Comme le dit un slogan que vous avez sûrement déjà croisé en ligne : "1984 n'était pas censé être un manuel d'instruction".
Et pourtant ...
Crédit photo : Markus Spiske